Credo che Dante fece quando fu accusato per heretico allo Inquisitore essendo lui a Ravenna
Désignation
Numéro d'inventaire / Cote
8-BL-6831 (1)
Localisation Ville
Paris
Localisation Institution
Bibliothèque de l’Arsenal
Créateur / Auteur
Dante Alighieri (fausse attribution)
Description
Type d'objet
Livre
Caractéristiques matérielles
Support et technique
Recueil factice. Type de support: Livre.
Format et pagination
in-4°, 46 ff. non numérotés
Lieux et dates
Siècle
XVe
Langue
Langue(s) du texte
Italien
Données historiques
Histoire de l'objet
Ex-libr. ms. de Benedictus Glinassius
Présentation du contenu
Articulation interne du volume
Recueil factice composé de : Credo che Dante fece quando fu accusato per heretico allo Inquisitore essendo lui a Ravenna (4 ff.) ; Formulario di epistole vulgare missive e responsive e altri fiori di ornati parlamenti allo excelso e illustrissimo principe signor Hercole da Esti dignissimo duca di Ferrara, composto per Christophoro Landini ciptadino fiorentino dignissimo comentatore di Dante et prima el proemio
Illustrations
Fol. 1, Gravure coloriée
Observations
3 premières ff. massicotées ; annotation manuscrite Fol. 4v Ex-libr. ms. de Benedictus Glinassius, 13 septembre 1592.
Auteur de la fiche
Silvia Argurio
Date de la dernière modification
03/04/2024
Commentaire
Le Credo est un ouvrage apocryphe anciennement attribué à Dante, bien que les manuscrits contiennent des informations discordantes sur l’autorialité du texte. Dès le XVIIe siècle, Leone Allacci, dans son Poeti antichi, attribua le Credo à Antonio da Ferrara. Le poème est composé de triplets : l’auteur déclare qu’il s’était consacré, par le passé, à composer des rimes d’amour et qu’il veut écrire désormais comme un vrai chrétien. Après cette déclaration d’intention, on lit une paraphrase de la profession de foi chrétienne (« Credo »), une exposition des sacrements, du Décalogue, des péchés mortels, du Pater noster et de l’Ave Maria. Le Credo fait partie d’un recueil factice (un assemblage de documents sous une même reliure), au sein duquel il est suivi d’une série d'épîtres dédiées à Ercole d’Este par Cristoforo Landino.