Henri Hauvette, La France et la Provence dans l’œuvre de Dante
Désignation
Numéro d'inventaire / Cote
85/1 DANT HAU
Localisation Ville
Grenoble
Localisation Institution
Bibliothèque universitaire Droit et Lettres
Créateur / Auteur
Henri Hauvette
Éditeur
Boivin et Cie
Description
Type d'objet
Livre
Caractéristiques matérielles
Format et pagination
In-8, VI-175 p.
Lieux et dates
Siècle
XXe
Date de la création / édition
1929
Lieu de la création / édition
Paris
Langue
Langue(s) du texte
Français
Présentation du contenu
Illustrations
Non
Bibliographie et sites
Ferdinand Castets, Il fiore : poème italien du XIIIe siècle, en CCXXXII sonnets : imité du roman de la Rose par Durante ; texte inédit publié avec fac-similé, introduction et notes, Paris, Masonneuve et Cie, 1881.
Gianfranco Contini, «Un nodo nella cultura medievale: la serie Roman de la Rose-Fiore-Divina Commedia», Un'idea di Dante. Saggi danteschi, Turin, Einaudi, 1970, p. 245-283.
Guido Mazzoni, « Se possa Il Fiore essere di Dante Alighieri », dans Raccolta di studii critici dedicata ad Alessandro D'Ancona, Florence, Barbera, 1901, p. 657-692.
Auteur de la fiche
Chiara Zambelli
Date de la dernière modification
04/04/2024
Commentaire
Hauvette passe en revue les questions principales qui lient Dante à la France dans les cinq chapitres. Dans le premier il réfute l'hypothèse du voyage à Paris. Avec le deuxième il s’inscrit dans une typologie d’études courante dans le domaine des littératures étrangères, en énumérant la présence des paysages français et provençaux dans l’œuvre de Dante. Il aborde ensuite a pensée politique du poète, en expliquant le misogallismo en tant que réaction légitime à la politique aggressive de Philippe le Bel. Les deux derniers chapitres sont consacrés à la dette stylistique et thématique de Dante envers la poésie des troubadours et aux renvois au roman courtois dans ses œuvres. Dans ce cadre on aborde l’attribution du Fiore et du Detto d’Amore, qu'Hauvette accepte en suivant la proposition de Ferdinand Castets et ses développements par Guido Mazzoni.